Un pays qui ne respecte pas la vie et qui ne croit plus en la vie est un pays qui meurt
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- Publication : mercredi 30 novembre 2016 20:30
Nous publions c-dessous bien volontiers cet article que nous a envoyé un de nos adhérent:
L’avortement est la suppression d’une vie humaine.
Celle-ci commence au moment de la conception, au moment de la fusion du spermatozoïde et de l’ovule. La génétique moderne enseigne que dans la première cellule sont déjà inscrites toutes les caractéristiques de la personne. Le premier des droits de l’homme, c’est le droit à la vie depuis la conception jusqu’à la mort naturelle.
L’avortement est contraire à la loi naturelle, cette loi inscrite dans la conscience humaine et qui incite à chercher ce qui est bien. Ce qui est mal ne peut devenir un droit. Quand un mal risque de se produire, il faut tout faire pour l’en empêcher. Des aides doivent être apportées aux femmes désirant garder leur enfant. Si une femme ne souhaite pas garder son enfant, elle peut le confier à des parents adoptifs. De nombreux parents sans enfants souhaiteraient en adopter un. L’avortement n’est pas un acte banal. Il est traumatisant. Les femmes qui ont avorté, souvent à la suite de pressions extérieures, ne sont pas heureuses.
La bienheureuse Mère Teresa de Calcutta, prix Nobel de la paix déclarait lors de la remise du prix le 3 février 1994 : « Le plus grand destructeur de la paix dans le monde aujourd’hui, c’est l’avortement car c’est une guerre déclarée contre l’enfant, un meurtre pur et simple de l’enfant innocent. » La vie humaine est sacrée. Il faut la protéger.
On ne peut occulter le drame existentiel, familial et social que représentent environ 230 000 avortements par an en France, un chiffre en hausse continue. Dans le même temps, le nombre de naissances a diminué de 20 000 en 2015 par rapport aux années précédentes.
Un pays qui ne respecte pas la vie et qui ne croît plus en la vie est un pays qui meurt.
Il est grand temps de réagir. Il faut savoir résister à l’idéologie dominante pro-avortement. Les combats perdus d’avance sont ceux qui n’ont pas étés engagés. Avec d’autres associations, nous devons essayer de retourner l’opinion publique et promouvoir une législation respectueuse de la vie et du droit de naître.
Jean-Marie LEJEUNE
Ancien Bâtonnier
Mediateur
Et nous ajouterons qu'en même temps il faut aussi soutenir les associations qui aident et écoutent les femmes en détresse, même si c'est une expression maintenant sortie de la loi, et qui les réconfortent en leur montrant d'autres alternatives.